15 septembre 2022 Pourquoi les copies de système et l'anonymisation des données vont-elles de pair ?
Depuis plus de dix ans, Libelle automatise les copies et les mises à jour des systèmes SAP avec Libelle SystemCopy. Au cours de cette période, nous avons fait l'expérience des différents défis auxquels nos clients sont confrontés avec les copies manuelles de systèmes. Voici un résumé des dix principaux problèmes et erreurs potentiels des copies manuelles de systèmes.
Les paramètres de production (PRD) dans les systèmes de non-production (par exemple, les systèmes de Qualité) constituent le plus gros problème résultant de l'exécution manuelle d'une copie du système. Immédiatement après, le système de Qualité est alimenté par les paramètres du PRD ; une partie de la mise à jour consiste à "corriger" ces paramètres. L'objectif est qu'ils pointent vers le système de Qualité et non vers le PRD. Les paramètres comprennent également (mais sans s'y limiter) les paramètres RFC - cela peut amener le système de Qualité à établir des connexions de production et à émettre des commandes aux fournisseurs via des systèmes partenaires, ou à envoyer des courriels aux clients de manière incorrecte.
Les copies du système sont planifiées pour une période de temps spécifique, souvent des mois à l'avance. Les processus manuels et les problèmes inattendus peuvent retarder le processus, et le rafraîchissement du système logique (BDLS) peut prendre plus de temps que prévu s'il est effectué manuellement. Chaque minute compte. Les copies de systèmes automatisés ne peuvent pas tout éviter, mais avec 90 % du flux de rafraîchissement automatisé, les vulnérabilités à risque sont considérablement réduites.
Les administrateurs de base sont souvent exposés à une charge de travail élevée. Par conséquent, lors des mises à niveau qui s'étendent sur plusieurs jours, voire plusieurs semaines, il y a une charge supplémentaire. Les administrateurs de la base peuvent exécuter plusieurs terminaux vers différents systèmes pendant une copie du système, y compris des connexions à la production pour étudier d'autres projets et tâches. Une copie du système de Qualité nécessite de faire rebondir SAP et d'abandonner les bases de données. Cela peut facilement conduire à faire rebondir le mauvais serveur ou la mauvaise base de données - avec des conséquences désastreuses.
Les utilisateurs PRD et les rôles PRD sont différents de ceux des systèmes de Qualité. Une partie de la copie du système consiste à réaffecter les rôles SQR par la suite. Un processus manuel pour ce faire est fastidieux et source d'erreurs. Une petite erreur peut donner au mauvais utilisateur un accès trop important, ce qui augmente le risque de violation des données.
Dans un processus de rafraîchissement manuel, il est possible que tous les transports qui ont été importés dans le système de Qualité avant la copie du système ne soient pas réimportés correctement. Lorsqu'ils sont entièrement importés, ils ne le sont souvent pas dans le bon ordre. Cela entraîne des problèmes qui empêchent le système de Qualité d'être disponible. La seule solution est alors de faire une nouvelle copie du système en partant de zéro.
Une erreur fréquente dans la copie manuelle d'un système est le lancement de travaux par lots de production sur les systèmes de Qualité. Cela conduit souvent à des escalades majeures et, en même temps, à un goulot d'étranglement des ressources sur les systèmes cibles. En effet, ces derniers ne sont pas aussi pleinement utilisés que le système de production.
Lorsqu'un système de développement est copié, les projets de développement qui ne sont pas fermés ou déplacés via les transports peuvent être oubliés, ce qui entraîne la suppression de l'historique des versions.
Les programmes reçoivent souvent des chemins d'accès au système de fichiers par le biais de paramètres et les paramètres sont gérés dans des variantes. Dans une copie de système, les variantes sur les systèmes de Qualité proviennent de la production et doivent être corrigées. Si cela n'est pas fait correctement, les programmes continuent de pointer vers la production. Une fois déclenchés dans les systèmes de Qualité, ces programmes peuvent lire et/ou écrire des données depuis/vers les systèmes de production.
Les paramètres d'impression des systèmes de Qualité provenant de la production constituent une petite gêne. En plus, d'être un problème qui peut être source de confusion et de retards. Le système de Qualité envoie ensuite les travaux d'impression aux imprimantes de production, ce qui déplaisant mais tout aussi contraignant.
Avec une mise à jour manuelle du système, toutes les parties prenantes sont pleinement impliquées dans le processus. Qui veut repasser par le processus après une livraison de systèmes souvent retardée et stressante ? La vue d'ensemble est négligée. Combien de temps dure la mise à jour ? Pourquoi cela prend-il autant de temps ? Où pouvons-nous optimiser ? Un processus automatisé permet d'analyser facilement l'exécution. Nous avons récemment constaté que les tables RDDSTAT* étaient responsables de 80 % du temps d'exécution des BDLS dans un système, car elles n'étaient pas gérées (note SAP).
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